Oublions la référence chronométrique
On est ultra-traileur, on enquille des 80, 100, 120 et 160 kilomètres et on a peur d’un marathon de 42 kilomètres !
S’engager sur marathon, c’est partir avec pour objectif sublime « moins de 3h30 ». Entre 3h35 et 3h45, le contrat est rempli. 3h50 : déception. Long ruban de bitume, sans quasiment aucun arrêt si ce n’est quelques mètres en marchant pour choper un gobelet d’eau et un quartier d’orange aux ravitos placés tous les 5 km. Répéter le même mouvement, garder le même rythme. Brrr ! Ça, c’est dur …
Publié le 13 novembre 2016, dans Trail. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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